Thursday, November 28, 2013

(Fr - 28 Nov 2013 - Actu) Un chariot de duty free aurait pu causer un crash à l’aéroport de Tel-Aviv


Un chariot de bouteilles d’alcool, du type de ceux qui servent à se balader dans l’avion pour vendre des produits Duty Free, a faillit causer un crash à l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.

L’accident a eu lieu mardi, sur un vol El Al en provenance de Bangkok.

Au moment ou le train d’atterrissage a touché le sol, alors que l’avion était encore à pleine vitesse, le charriot a dévalé l’avion, prenant de la vitesse et… Défonçant la porte du cockpit, surprenant les pilotes au milieu de leurs procédures d’atterrissage.

Plusieurs bouteilles se sont brisées à l’intérieur du poste de pilotage, mais les pilotes ont réussi à garder le contrôle de l’avion et aucun blessé n’a été signalé. Le vol transportait quelque 450 passagers .

On ne sait pas comment le chariot s’est libéré de ses attaches . Les procédures de sécurité exigent que tous les chariots de nourriture et de boissons soient fixés avant l’atterrissage. Une enquête a été ouverte.
Lien

Tuesday, November 26, 2013

(En/Fr - 26 Nov 2013 - News) Blue Flag Pictures and Video



Pictures from the Blue Flag 2013, taking place now in israel (for more information)




















(Fr - 26 Nov 2013 - Actu) El-Al se lance dans le low-cost


El-Al, la compagnie aérienne nationale israélienne, prévoit de créer une filiale low-cost qui propose des vols vers plusieurs destinations en Europe à moins de 70 dollars, à déclaré lundi son vice-président des affaires commerciales et de l'industrie, David Maimon, lors d'une conférence à l'Institut de l'aviation civile.

Les activités de la nouvelle compagnie d'El-Al, baptisée 'UP' débuteront au printemps 2014.
'UP' proposera des vols vers certaines capitales européennes à bord de boeing 737-000 qui seront affublés d'un nouveau logo et de couleurs différentes de celles des avions de ligne d'El-Al.

Les avions de la compagnie 'UP' seront divisés en deux classes: l'économique qui offrira un service minimum et la 'Plus' qui inclura des boissons gratuites, une couverture et un oreiller.

Cette nouvelle branche low-cost devrait aider El-Al à faire face à la concurence croissante des compagnies aériennes européennes à bas prix comme EasyJet ou Ryanair qui opèrent vers Israël depuis Londres, Manchester, Genève, Bâle, Rome, Budapest, Varsovie ou Berlin.

L'accord 'open sky' signé entre l'UE et Israël en juin dernier a libéralisé le marché de l'aviation commerciale, permettant aux concurents des compagnies israéliennes d'offrir des vols à prix cassés.

La compagnie israélienne a également annoncé l'ouverture d'un nouveau salon d'affaires de luxe à l'aéroport international Newark Liberty dans le New Jersey pour ses clients haut de gamme.

Ce salon, appelé "Lounge & Art", situé dans le terminal B de l'aéroport américain, près des comptoirs d'enregistrement d'El-Al sera ouvert sept jours sur sept et pourra accueillir jusqu'à 90 personnes.

Le "Lounge & Art" servira également de galerie d'art contemporain, afin "d'enrichir l'expérience visuelle des visiteurs", a indiqué la compagnie dans un communiqué de presse.
Lien

Friday, November 22, 2013

(En - 22 Nov 2013 - News) Israeli fighter jets reported flying over Beirut


Israeli fighter jets were seen flying Thursday over Lebanese territory, including above the nation’s capital Beirut, a Lebanese news agency reported.

According to the Nashera news agency, extensive Israeli Air Force activity has taken place over the country’s coastal regions, Israel Radio reported.
Last month, Lebanon’s state-run media reported that Israeli fighter planes and unmanned drones flew over two villages in the country’s south. The Lebanese National News Agency reported that fighter jets buzzed the villages of Arkoub and Hasbaya, in southeast Lebanon.
 
In August, the IAF struck targets south of Beirut in retaliation for rockets fired on Israel by terrorists in Southern Lebanon.
 
Sources in the United Nations asserted that Israel has more than doubled its overflights of Lebanese airspace compared to the previous year, suggesting preparations for possible action against Syria or Hezbollah.
Link

Wednesday, November 20, 2013

(En - 20 Nov 2013 - News) Soldier accused of purposely damaging F-16s


An Israeli Air Force technician was charged Wednesday with deliberately tampering with two F-16 planes at the Ramat David base on October 27. The damage incurred to the planes, had it gone undetected, was liable to cause the planes to crash. The soldier confessed in the course of an interrogation and claimed he had done it to get back at his commander for giving him too much work.

The soldier was charged with undermining state security and overstepping his authority as well as two counts of destruction of property.
According to the charges, the soldier was in the midst of a routine inspection at the Ramat David air base, southeast of Haifa, when he dropped a rod, damaging the lock-down mechanism near the plane’s wheels. The soldier reportedly attempted to fix his mistake and straighten the switch and upon realizing he could not, wrenched it out completely. He did not report his error to his superiors and later removed a similar mechanism from a different F-16 aircraft.
 
Last week, a complaint was filed against the soldier for intentionally damaging the planes and he was subsequently arrested. Flights were grounded for the rest of the day and all aircraft were subject to thorough inspection. The repair costs for the two damaged planes are estimated at tens of thousands of dollars.
 
Following a request from the soldier’s attorney for more time to investigate, the charges were not filed for a week after the soldier’s arrest, Maariv reported.
 
“This is a case of a regular soldier who broke [from the pressure of] his superior’s demands,” Idan Dvir, the soldier’s attorney said. “The offenses attributed to my client in the indictment do not match the actions to which he pleaded.”
 
Wednesday afternoon, hours after the complaints were filed, two commanders at the Ramat David base stated that they did not think the soldier was aware of the consequences of his actions.
 
“My impression is that the soldier did not know what he was damaging. In my opinion he couldn’t tell if it was a part that could impair the safety of the planes,” the base commander said in a Channel 2 report. “With that, the damage to the aircraft was likely to put lives in danger.”

(Fr - 20 Nov 2013 - Actu) Le système de défense 'Fronde de David' passe un deuxième essai avec succès


Le nouveau système de défense mobile David Sling ‘Fronde de David” développé en partenariat avec les Etats-Unis a passé avec succès mercredi matin son deuxième essai grandeur nature dans le sud d'Israël, ont indiqué des responsables de l’armée israélienne.

Ce nouveau système est destiné à intercepter des missiles venant de Syrie et du nord Liban où est basé le Hezbollah.

Dénommé David Sling, ce nouveau système pourrait être déployé l’an prochain et sera susceptible d’intércepter des roquettes ou des obus avec une portée comprise entre 100 et 200 km .
"Ce succès est une étape majeure dans le développement de ce nouveau système de défense antiaérienne et accroit la confiance dans les capacités israéliennes à contrer les menaces" de l’extérieur, selon le communiqué de Tsahal.


Il sera un complément aux systèmes de défense actuel "Dôme de fer" qui intercepte des missiles de courte portée et au système "Arrow".

L’annonce du succès de ce nouvel essai intervient alors qu’Israël multiplie les menaces à l’égard de l’Iran et que le Hezbollah, reste selon de très nombreux hauts gradés israéliens, la principale menace immédiate de l'Etat hébreu.

Ce nouveau système est développé par le groupe de défense national israélien Rafael et la société américaine Raytheon Co.

Rafael développe aussi le Dôme de fer qui a été largement financé par les Américains. Selon Israël et les USA ce système a réussi à intercépter près de 85% des roquettes lancées depuis Gaza en Israël il y a un an.

Outre Israël, d'autres pays pourraient être interessés par la "Fronde de David" dont d'anciennes républiques soviétiques qui craignent une confrontation avec la Russie ont indiqué des diplomates à Reuters sous couvert d'anonymat.

Ce système de défense est capable d'intercepter également des missiles Scud syriens ou des Shehabs iraniens, ajoute l'armée.
Lien

Thursday, November 14, 2013

(Fr - 14 Nov 2013 - Actu) Avec Ses 2 Mètres d’Envergure, le Skylark a l’Air d’un Jouet


Le Skylark (alouette) est un drone tactique de faible portée conçu par Elbit Systems pour la reconnaissance, la détermination de cibles, la surveillance et le renseignement en temps réel (ISTAR) à l’usage d’un bataillon. « Il permet un combat bien plus efficace », explique le lieutenant Mazursky, 22 ans. « C’est un multiplicateur de forces qui confère une nouvelle dimension aux opérations de Tsahal. Une aide considérable pour le bataillon. »

Pourquoi et comment le corps d’artillerie en est-il venu à espionner le ciel pour les forces au sol de Tsahal ? Tout a commencé alors que l’unité Sky Rider accompagnait le Zik, unité d’élite dans le corps d’armée en charge de l’Hermès 450, drone de taille moyenne spécialisé dans les missions d’endurance et qui peut être armé de missiles.

Le baptême du feu du Skylark s’est fait en 2006, pendant la seconde guerre du Liban, mais, à l’époque, ce nouveau petit drone n’a joué qu’un rôle marginal, assurant quelques missions de reconnaissance à courte portée en soutien aux troupes au sol. 3 ans plus tard, avec l’opération Plomb fondu, à Gaza, le Skylark va gagner ses lettres de noblesse : il apporte des renseignements vitaux et permet de renforcer la coopération entre les bataillons. « L’armée a vu que nous apportions quelque chose de vraiment important », se souvient le lieutenant Mazursky. « Nous avons procédé à d’innombrables opérations de collecte de renseignements et de détermination de cibles. C’était insensé ! »

C’est la rencontre surprise entre l’infanterie israélienne et les camps fortifiés du Hezbollah, dissimulés dans de prétendues réserves naturelles, qui, en 2006, a accéléré le méticuleux processus de transformation de Sky Rider en unité indépendante. 34 jours de campagne au cours desquels Tsahal mène une étude approfondie mettent en lumière la nécessité de donner aux commandants de bataillons et de compagnies un accès immédiat aux images rapportées par leur propre « alouette » et d’éliminer ainsi leur dépendance vis-à-vis des escadrons de drones.

Avec ses 5,5 kg et ses 2 mètres d’envergure, le Skylark a l’air d’un jouet. Il a déjà volé des milliers d’heures au profit des armées de l’OTAN en Irak et en Afghanistan. Pour l’usage auquel on le destine, il semble être l’outil idéal, avec une vitesse maximale de 65 km/h, une portée de 10 à 15 km. Une fois lancé, il vole de façon totalement autonome. Sa caméra électro-optique de pointe filme de jour comme de nuit, grâce à ses rayons thermiques infrarouges. Il suffit à l’opérateur de pointer la caméra sur la cible désignée et le drone suit.
Lien

Friday, November 8, 2013

(Fr - 08 Nov 2013 - Actu) Le premier M-346 israélien prend forme

Le premier M-346 israelien (SN 19) en assemblage final
Le remplacement des Skyhawk israéliens se précise. L'avionneur italien Alenia Aermacchi a annoncé hier que le premier biréacteur d'entraînement avancé M-346 destiné à la force aérienne de Tel-Aviv était entré en phase d'assemblage final dans l'usine de Venegono.

Baptisé "Lavi" (lion en hébreu) par Israël, le M-346 a été commandé à 30 exemplaires afin de succéder aux TA-4 Skyhawk qui servent actuellement à la formation avancée des pilotes de chasse locaux. Le premier M-346 israélien devrait être livré à la mi-2014, selon Alenia Aermacchi.

En compensation de ce contrat, d'une valeur estimée à environ un milliard de dollars, l'Italie s'était engagée en 2012 à acquérir deux avions d'alerte avancée G550 CAEW (Conformal Airborne Early Warning) auprès de l'industriel israélien IAI.

Pour l'heure, le M-346 a été commandé par trois pays. Client de lancement, l'Italie a passé commande de six machines sur un besoin total exprimé pour 15 avions. Singapour a commandé 12 avions dont les livraisons ont commencé sur la base aérienne de Cazaux, en France, qui accueille la formation des pilotes de chasse singapouriens.

Le déploiement du M-346 chez ses clients a toutefois été retardé par le crash d'un appareil de présérie le 11 mai 2013, suite à une perte de contrôle totale par le pilote d'essai, qui a toutefois pu s'éjecter. Toute la flotte de M-346 avait été clouée au sol jusqu'à la fin du mois d'août et la conclusion de l'enquête accident à la suite de laquelle Alenia Aermacchi a dû apporter des modifications sur les avions. Il s'agissait du second crash d'un M-346 après celui d'un prototype lors du salon de Dubaï en novembre 2011, au cours duquel les deux pilotes avaient pu s'éjecter.
Lien

Tuesday, November 5, 2013

(En - 05 Nov 2013 - News) Five Air Forces to Participate in Israel’s ‘Blue Flag’ Air Combat Exercise

 
U.S., Greek, Polish and Italian fighter jets are planned to deploy to Ovda Israel Air Force Base this month, to participate in the Israel Air Force’s ‘Blue Flag’ air warfare exercise over the southern Negev Desert. Over 100 aircraft and about a thousand air and ground crews are expected to participate. Israeli sources have not confirmed the specific nations taking part in the exercise but foreign sources have indicated these are likely to include Greece, Poland, Italy, the US and Israel.

Each of these air forces have already trained separately with the IAF, and some were also deployed here for training, but the ‘Blue Flag’ will be the first opportunity for the IAF to conduct a multinational exercise of this scale, since Israel was excluded from the NATO ‘Anatolian Eagle’ exercise as a result from the deteriorating relations between Turkey and Israel in recent years. Foreign air forces have been flying the Eager Tiger and Eager Lion exercises in Jordan for several years but for the Israelis, the ‘Blue Flag’ is a first of a kind opportunity.

The exercise will employ the IAF Aggressor squadron based at Ovda, and scores of ground based targets and air defense assets positioned throughout the southern Negev, simulating a modern threat environment. While the aggressor role is similar to that of the US “Top Gun” school and ‘Red Flag’ exercises, the aggressor role is tasked on different squadrons every 24 months, thus keeping pilots combat ready and proficient in the IAF combat missions. The squadron flies F-16A Block 15 Falcons, in service with the IAF since 1980.

Italian Air Force Typhoon take off from IAF Base Ovda
The exercise simulates realistic engagement with situations from asymmetric warfare engaging low-signature targets to full fledged ‘symmetric’ opponent, where opposing air forces required to operate in denied access environment, penetrating heavy air defenses and aerial threats. The aggressor squadron has been trained in simulating various opposing air forces tactics, particularly Arab aerial tactics, to train other squadrons.

The IAF conducted a ‘grand rehearsal’ in January 2013, deploying five squadrons to the southern base, simulating a surge in missions and operational tempo conducted over several days. For the actual exercise the visiting air forces will deploy to Ovda on November 13, for orientation and preparation, with the exercise itself staged between 17 and 28 November.
Link

Monday, November 4, 2013

(En - 04 Nov 2013 - News) Drone crashes in Gaza, Hamas claims responsibility


An Israel drone aircraft crashed in the northern Gaza Strip Sunday.

Hamas’s military wing claimed it shot down the unmanned aerial vehicle. The al-Qassam Brigades wrote on Twitter that it had downed the drone with what it called a “mini-drone.”
The Israel Defense Forces denied the report, saying its drone crashed from a technical malfunction. ”In contradiction to the Palestinian reports, there was a Skylark tactical mini UAV system that crashed in the northern Gaza Strip due to a technical malfunction,” an IDF spokesperson said.
"a UAV 'Skylark' crashed a short time ago due to technical issues.It was not shot down."
 
A photo published on the Facebook page of the Palestinian Quds news agency claimed to show the crashed drone.
 
The Skylark, operated by the field troops from the Artillery Corps, is a 7.5 kilogram drone that is launched by infantry and can send live video footage back to operators in the field. It is is used primarily for surveillance and intelligence-gathering.
 
In 2012, a Skylark crashed near Nablus in the West Bank and was recovered by IDF troops.
Reportedly, Hamas was to hold a press conference later in the day at which it would show off the drone.
 
 
In 2007, a similar drone crashed in northern Gaza from a technical malfunction and Hamas also claimed responsibility, showing off pictures at a press conference.

Saturday, November 2, 2013

(Fr - 02 Nov 2013 - Histoire) Le Raid sur Osirak


Lorsque, au milieu des années 1970, l'Irak se tourne vers la France pour la mise en place d'un complexe nucléaire, Israel sent immédiatement la menace.

Achetée clé en main, la central d'Osirak, installée au sud-est de Bagdad, doit produire à sa mise en route 70MW, permettant par la suite de récupérer la matière fissile afin de fabriquer des armes atomiques.

Les Services secrets hébreux sont formels : la central ne doit pas fonctionner !! Sa destruction apparait comme une evidence aux yeux de Menahem Begin qui confie la mise au point de l'attaque directement au general Raphael "Raful" Eitan, le chef d'état major de Tsahal.

Mais à cette époque, la Heyl Ha'Avir ne possède pas encore d'appareils capable d'accomplir cette mission sans un ravitaillement en vol, procedure risqué si elle doit intervenir au dessus d'un pays ennemi ! Avec l'arrivée des preliers F-16, Eitan est alors en mesure de presenter un plan d'attaque solide à Chaim Weizman, son minister de la Défense. Mais, comme cette operation provoquera surement un embargo américain, sans parler d'une éventuelle riposte irakienne, il est jugé plus prudent d'attendre la livraison de quelques Fighting Falcon supplémentaires. Pas trop longtemps quand meme, car il faut neutralizer le réacteur avant qu'il n'atteigne son stade critique pour ne pas contaminer la region. Au printemps 1981, le feu vert est donnée et l'entrainement peut commencer. "Raful" choisit personnellement les equipages parmi les pilotes les plus expérimentés. Le dispositive est place sous la direction de Ze'ev Raz, le commandant du Tayeset 117.

Le 7 juin, huit F-16A Netz, escortés par six F-15A Baz, s'envolent de la base d'Etzion, dans le Neguev. Les Netz sont chacun equips de trois reservoirs supplémentaires et de deux bombes Mk.84 de 907kg, tandis que les Baz sont armés d'AIM-7 Saparrow et d'AIM-9 Sidewinder. La quantité de carburant est tout juste suffisante pour couvrir les 2400 km aller et retour à basse altitude, avec une seul passé sur l'objectif. Peu après le décollage, un changement météo de dernière minute oblige la formation à se déporter au sud de la route prevue. Tant et si bien que, aussi incroyable que cela puisse paraitre, le roi Husayn de Jordanie en personne , confortablement installé sur son yacht ancré dans le port d'Aqaba, la voit passer. Pilote confirmé lui meme, il comprend que son pays n'est vraisemblablement pas en danger, mais il fait quand meme prévenir Saddam Hussein. En visite sur le front iranien, on ne sait pas si ce dernier recoit le message. Toujours est-il qu'aucun MIG ne vient barrer la route aux Israeliens.


Au terme d'une heure et demie de vol sans histoire, l'ennui de la navigation fait place aux préparatifs de l'attaque. Après avoir largué leurs bidons, désormais vides, et accéléré à 450 noeuds, les pilotes traversent l'Euphrate et etteignent la banlieue de Bagdad, toujours sans aucune reaction des défences irakiennes. Raz donne alors l'ordre aux bombardiers de monter à 8000 pieds avant de plonger sur la centrale. Les Netz se presentment en deux vagues de quatre tandis que les Baz surveillent les alentours, pret à repousser tout MiG ennemi. En descente à 35°, Raz largue ses deux Mk.84 à 3500 pieds, puis degage brutalement en lachant des leurres pour dejouer d'eventuels missilles.
La DCA canon irakienne commence à se reveiller, mais reste assez molle. Les autres F-16A déboulent à 5 seconds d'intervalle, selon le meme profil d'attaque. Au passage du cinquieme appareil, la coupole de l'edifice s'est déja écroulée et l'interieur n'est qu'un brasier ou tout semble détruit.
Seul le septième avion rate la cible, son pilote, aveuglé par une explosion, touchant des structures annexes. En 45 seconds, le batiment du réacteur est reduit à un amas de ruines fumantes. La seule victime du raid est un ingénieur francais.


Alleges, les Netz se regroupent au dessus de Bagdad, à 30 000 pieds, et, en compagnie des Baz, prennent le chemin du retour à 600 noeuds sans etre un instant inquiétés par la chasse irakienne. Lors de leur traverse de la Jordanie, la defense aérienne du roi Husayn n'ose pas s'opposer à leur passage et les quatorze appareils atterrissent sans un seul dommage à Etzion, 90 minutes après l'attaque.

Un KILL MARKING pas comme les autres ! La silhouette d'un réacteur nucléaire superposée sur la cocarde irakienne témoigne de la participation de ce Netz à l'opération "Opéra"

La reaction de la communauté internationale fut encore une fois unanim et condamna l'attitude d'Israel. Et comme prévu, les Américains suspendirent la livraison des Fighting Falcon suivants.

Friday, November 1, 2013

(En - 01 Nov 2013) In battle for the skies, Turkey beats Israel 112:0


Turkey has essentially barred Israeli airlines, thus monopolizing the highly lucrative route between Israel and Turkey, but Israel is doing nothing about it for fear of exacerbating its already frayed diplomatic relations with Ankara, The Times of Israel has established.

Air traffic between the two countries has actually soared by over 150 percent since the 2010 Gaza flotilla episode that sent bilateral ties hurtling into the abyss. But only Turkey is benefiting from the increase: The total number of Turkish airline flights out of Ben Gurion each week has reached a staggering 112. The total number of Israeli airline flights on the route: zero.

For reasons Jerusalem blames squarely on Ankara, Israeli airlines have been unable to fly to any destinations in Turkey since 2007, and are locked out of the market. Israeli officials are deeply unhappy about what they consider an unfair situation in which the Turks have found a cash cow in Israel, but maneuvered in order to leave Israel’s airlines with nothing.

Turkish Airlines now operates more flights out of Tel Aviv’s Ben Gurion Airport than any other airline except for Israel’s national carrier El Al. The Turkish state-owned company currently operates no fewer than 53 weekly flights from Tel Aviv to Istanbul, according to its regional marketing manager Selin Stella Rattan. Pegasus Airlines and other Turkish charter companies together offer an additional 59 weekly flights connecting the two countries, bringing the total number of Turkish flights out of Ben Gurion to a staggering 112.

This constitutes a 166% increase on 2010, when the total weekly number of Turkish airline flights from Tel Aviv stood at 42.
 
This year, the number of passengers who flew from Israel to Turkey climbed by 63%, from 526,469 to 856,982, according to Israel Airports Authority figures. From there, many of the passengers travel on to destinations worldwide.
 
Until 2007, Israeli companies operated about 30 weekly flights to and from Turkey. But starting that year, Turkish authorities ceased accommodating Israel’s security requirements, effectively barring Israeli companies from landing in Turkey. Israel’s security agencies have higher security requirements than other countries’ regarding the operation of flights. Officials in Jerusalem refused to specify Israel’s security demands on record, but in private conversations squarely blame Turkish authorities for deliberately making the Israelis’ lives more difficult.
 
 
The Turks refuse to allow Israel security personnel “to perform the security checks on passengers boarding flights to Israel,” according to Flightglobal.com, a leading website covering the aviation and aerospace industries. “It is not the first time that a country has been uncomfortable with the presence of armed Israeli security personnel in its airports. Russia and Denmark have taken a similar stance in the past, but eventually agreed to lift the restrictions.”
 
Because of the strained relationship between Turkey and Israel, Jerusalem has so far refused to raise the issue in high-level talks with Ankara. But El Al CEO Eliezer Shkedi, fuming about what he says is an inherently unfair state of affairs, last week wrote an angry letter to Prime Minister Benjamin Netanyahu, decrying “the unfathomable and incomprehensible situation relating to Turkey in general and Turkish and Israeli airlines in specific.”
 
Citing a Turkish “refusal” to operate Israeli flights, Shkedi attacked “the State of Israel’s incomprehensible support for the international expansion of Turkish airlines at the expense of Israeli airlines that are prevented from flying.”
 
In his October 22 letter, Shkedi lamented the government’s unwillingness to act on behalf of Israeli companies. As long as Israeli planes cannot land in Turkey, Shkedi wrote to Netanyahu, Turkish planes should be barred from Israel as well. “This is the minimum required of a country that respects itself, yet it is not happening.”
 
In his letter to Netanyahu, El Al’s Shkedi spoke of a “refusal” to let Israeli planes land in Turkey, “for different and strange reasons. We’re simply being prevented from flying to Turkey.”
 
Jerusalem needs to rectify the current situation, which allows Turkish companies to operate 112 weekly flights out of Israel, while the Turks do not allow even one Israeli plane to land in their country, he wrote. “I ask you to clearly and unequivocally prompt the relevant parties to work toward allowing Israeli airlines to compete. A solution should be demanded as a condition to continue Turkish flights to Israel, and any increase in frequencies should immediately be stopped until an appropriate solution is found.”

(En - 01 Nov 2013) US to expedite delivery of V-22 Osprey aircraft to Israel


The US will fast-track delivery of six V-22 Osprey helicopter-plane aircraft to Israel, US Secretary of Defense Chuck Hagel said Thursday in his address to the Anti-Defamation League's centennial conference in New York.

NBC News reported that the Pentagon agreed to send Israel the next batch of Ospreys to come off the production line after Israel requested this week that the delivery of the aircraft be expedited amid threats from Iran and Syria.

The next group of Ospreys had originally been slated for assignation to the US Marines, a Pentagon official told NBC.

"Israel will get six V-22s out of the next order to go on the assembly line, and they will be compatible with other [Israeli defense] capabilities," Hagel was quoted by NBC as saying at the ADL conference.

According to the report, Israel could receive the Ospreys, which take off vertically like a helicopter, but fly like a regular transport plane, in as soon as two years.

Defense Minister Moshe Ya'alon and Hagel finalized the deal for the Ospreys during a visit by the US secretary of defense to the Jewish State in April. The deal is part of a wider $10 billion package involving US sales to Israel, Saudi Arabia and the United Arab Emirates, designed to provide Washington’s allies in the region with enhanced military capabilities against Iran.

Israel will be the first foreign country to receive the V-22 Osprey from the US.

Ya'alon took a test flight on an Osprey during a visit to Washington in June, AFP reported at the time.

What makes the V-22 unique is its ability to take off vertically like a helicopter, with its rotors in an upright position, and then to shift the rotors 45 degrees downward, allowing it to fly like a regular transport plane, reaching speeds of up to 300 knots, almost double that of a helicopter.

The V-22 can transport 24 combat troops, or more than 9,000 kilograms of internal or external cargo, and has a range of more than 4,000 kilometers with a single aerial refueling.

The IAF has had its eye on the V-22, made by the Boeing Company and Bell Helicopter, for a number of years. The US has used the aircraft for operations in Afghanistan.

The IAF has looked at the Osprey as a complementary platform to assist in IAF search-and-rescue operations and in dropping special forces behind enemy lines.
Link